Le Comité de soutien Assange, Le Vent Se Lève et de nombreux partenaires proposent une grande conférence sur la persécution judiciaire de Julian Assange et ses implications en matière de droit avec des avocats et juristes spécialistes du dossier :
« L’affaire Assange au regard du droit : 14 ans de persécution judiciaire »
Jeudi 16 mai 2024 à 19h30 – Salle Olympe de Gouges, Paris 11e (métro Père Lachaise)
L’événement aura lieu quelques jours avant l’audience décisive du 20 mai à Londres qui tranchera quant à la possibilité d’un ultime appel du fondateur de WikiLeaks au Royaume-Uni pour empêcher l’extradition vers les États-Unis. Ce sera donc aussi un rassemblement de soutien, l’extradition étant une menace réelle et imminente en cas de réponse négative de la Haute Cour britannique.
Les intervenants seront :
- Christophe Marchand, avocat de Julian Assange depuis 2015, il le représente devant la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) ;
- Deepa Driver, observatrice juridique (elle a suivi toutes les audiences d’extradition) et universitaire dans le domaine de la réglementation financière et de la responsabilité des entreprises et des États ;
- William Bourdon, avocat pénaliste spécialisé dans le droit des médias et la défense des lanceurs d’alerte ;
- Éric Alt, magistrat et administrateur de l’association de lutte contre la corruption Anticor.
La conférence commencera à 19h30 mais les portes ouvriront dès 18h30, avec les stands des différents partenaires et une buvette.
Organisation et partenaires : Comité de soutien Assange, Le Vent Se Lève, LDH, L’Humanité, Anticor, Blast, Les Amis du Monde diplomatique, Fédération internationale des journalistes, SNJ, SNJ-CGT, Acrimed, Là-bas si j’y suis, Les Mutins de Pangée, Mouvement de la paix, Centre mosellan des droits de l’homme.
La salle Olympe de Gouges est grande (700 places), nous avons besoin de vous pour la remplir… Venez et faites venir !
Vous trouverez l’affiche de l’événement en pièce jointe et voici notre post sur X/Twitter. Et la présentation de la conférence avec toutes les informations est sur notre site Internet. Nous vous invitons à diffuser ces éléments autour de vous.
Rendez-vous le 16 mai !
À bientôt,
Comite de soutien Assange
Commentaire recommandé
Ce qui m’a étonnée pendant le débat Valérie Hayer versus Jordan Bardella d’hier au soir, c’est que lorsque Valérie Hayer a dit : « Navalny », Jordan Bardella n’ait par répondu : « Assange » !
3 réactions et commentaires
L’affaire qui symbolise la fin du pouvoir de sujétion des narrations au sujet des valeurs de la part des pseudo démocraties sous le joug anglo-saxon.
Sans la foi comme ciment des consciences aux régimes, l’édifice craque.
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AlerterCe qui m’a étonnée pendant le débat Valérie Hayer versus Jordan Bardella d’hier au soir, c’est que lorsque Valérie Hayer a dit : « Navalny », Jordan Bardella n’ait par répondu : « Assange » !
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AlerterLa principale différence entre les dictatures et les « démocrassies » ne se situe absolument pas au niveau des traitements infligés aux opposants, qui sont de toutes façons exterminés sans merci, mais dans le traitement médiatique desdits opposants à la fois dans leurs propres zones d’influence et de leurs « alliés » et des « opposants » résidant dans « l’axe du mal absolu ».
Les dictatures se contentent d’emprisonner ou d’exécuter sans fioritures leurs opposants dans des procès plus ou moins « légitimes » sans se cacher et ne font pas de grand battages médiatiques sur les opposants de leurs « ennemis » qui subissent le même sort à l’extérieur de leurs frontières.
Les démocrassies font strictement la même chose mais commencent par un grand battage médiatique en présentant les opposants comme d’ignobles délinquants sexuels pédophiles afin de ne surtout pas que les raisons réelles de leur incarcération.
Ensuite, quand les accusations s’avèrent totalement infondées, ils les maintiennent embastillés car ils ont commis le CRIME de s’être soustraits à la justice alors que les accusations étaient totalement infondées.
Puis ils sont présentés comme des criminels ayant mis en danger des centaines de personnes (accusation toujours infondée) et enfin on ressort des tiroirs et on dépoussière une ancienne loi qui n’avait rien à voir en lançant une propagande monstrueuse pour manipuler la population en jouant l’hymne national en fanfare.
Et en même temps, pour tenter de con-vaincre la population des « bienfaits » de la démocrassie, on va chercher dans le « camp du Mal Absolu » des cas d’opposants sur lesquels on viendra broder un roman décrivant la « victime » comme un grand défenseur de la Liberté et de l’Équité.
Pour mémoire: un exemple de la « bienveillance » de Navalny : https://www.youtube.com/watch?v=tD8hjfrE_js
Tous les gouvernements traitent sans ménagements leurs opposants politiques.
La différence entre les « gentils » et les « méchants » se situe seulement au niveau du traitement médiatique et surtout des mêmes actes commis « chez lez autres ».
Qui est selon-vous le plus faux-cul ?
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