Les Crises Les Crises
1.avril.20211.4.2021 // Les Crises

Banquier d’affaires face aux crises ? Raphaël Rossello – par Thinkerview

Merci 56
J'envoie

Source : Thinkerview, Youtube

Source : Thinkerview, Youtube, 04-03-2021

Nous vous proposons cet article afin d'élargir votre champ de réflexion. Cela ne signifie pas forcément que nous approuvions la vision développée ici. Dans tous les cas, notre responsabilité s'arrête aux propos que nous reportons ici. [Lire plus]Nous ne sommes nullement engagés par les propos que l'auteur aurait pu tenir par ailleurs - et encore moins par ceux qu'il pourrait tenir dans le futur. Merci cependant de nous signaler par le formulaire de contact toute information concernant l'auteur qui pourrait nuire à sa réputation. 

Commentaire recommandé

vert-de-taire // 01.04.2021 à 10h19

Tant de trivialités déconcertent.
Ce que dit ce gentil banquier libéral ne dit rien d’autre que ce clament les hétérodoxes et autres économistes atterrés … ATTAC, .. bref les gens non hypnotisés par les profits de leurs patrons.
Tient ! même le gentil Piketty l’a redécouvert avec étonnement, donc affaire connue des gens qui pensent encore.
Ici aussi sur les-crises.fr bien d’entre-nous ont dit cela.
Bref les gens qui mènent le monde sont des escrocs-imbéciles qui se payent d’illusions.
La catastrophe du capitalisme raconté par un capitaliste, quelle nouveauté !

On a aussi fort bien raconté ici l’escroquerie du libéralisme : un régime capitaliste disparu
mais dont nos marionnettes parlent sans cesse pour nous tromper.
Donc absolument RIEN de nouveau ici.
SAUF une chose : un banquier ose le dire publiquement (alors que d’autres le disent en privé depuis longtemps – pas tous crétinisés).
Ceci pour dire que nous sommes encore au moyen-age car la peur d’être accusé de sorcellerie perdure. Une peur raisonnable vu les effets.
J’en déduis une fois de plus :
Une absence de progrès dans l’éducation des humains qui est ahurissante.
Le capitalisme rend, fabrique, des débiles – un fait.
Et c’est un choix (pas un hasard) de l’élite, on le prouve depuis Bourdieu (Alain Supiot ces temps).
CQFD. (1ère réaction après 50mn d’écoute).

3 réactions et commentaires

  • vert-de-taire // 01.04.2021 à 10h19

    Tant de trivialités déconcertent.
    Ce que dit ce gentil banquier libéral ne dit rien d’autre que ce clament les hétérodoxes et autres économistes atterrés … ATTAC, .. bref les gens non hypnotisés par les profits de leurs patrons.
    Tient ! même le gentil Piketty l’a redécouvert avec étonnement, donc affaire connue des gens qui pensent encore.
    Ici aussi sur les-crises.fr bien d’entre-nous ont dit cela.
    Bref les gens qui mènent le monde sont des escrocs-imbéciles qui se payent d’illusions.
    La catastrophe du capitalisme raconté par un capitaliste, quelle nouveauté !

    On a aussi fort bien raconté ici l’escroquerie du libéralisme : un régime capitaliste disparu
    mais dont nos marionnettes parlent sans cesse pour nous tromper.
    Donc absolument RIEN de nouveau ici.
    SAUF une chose : un banquier ose le dire publiquement (alors que d’autres le disent en privé depuis longtemps – pas tous crétinisés).
    Ceci pour dire que nous sommes encore au moyen-age car la peur d’être accusé de sorcellerie perdure. Une peur raisonnable vu les effets.
    J’en déduis une fois de plus :
    Une absence de progrès dans l’éducation des humains qui est ahurissante.
    Le capitalisme rend, fabrique, des débiles – un fait.
    Et c’est un choix (pas un hasard) de l’élite, on le prouve depuis Bourdieu (Alain Supiot ces temps).
    CQFD. (1ère réaction après 50mn d’écoute).

      +10

    Alerter
    • Obscur // 02.04.2021 à 14h38

      Propre sur lui, plein d’énergie, qui débite des truismes à longueur d’interview.
      Très déçu de cette vidéo : je n’ai pas pu aller jusqu’au bout, malgré trois essais : c’est trop long de banalités.
      En bref, je comprends que ce monsieur suggère, à partir de maintenant, une sorte de statu quo.
      Ben voyons…
      Ce n’est ni la repentance, ni le désir de vraiment changer quelque chose qui les pousse.
      De mon point de vue, on en est toujours à la tentation de diriger le monde à son profit, simplement d’une autre façon et en intégrant que les circonstances ont changé.
      Les cigares restent dans les mêmes bouches.

        +4

      Alerter
      • Renaud le Breton // 08.04.2021 à 21h51

        Bonjour,

        J’ai écouté intégralement l’entretien hier et je pense que vous n’avez pas bien saisi les choses :

        Quand il évoque une sorte de statut quo comme vous dites, il s’agit simplement d’éviter un effondrement brutal de notre société. Il propose une sorte de troisième voie entre le « buisness as usual » qui nous mène dans le mur et le décroissantisme ; mais il ne parle pas du tout de conserver tout tel quel, mais plutôt de sauver ce qui peut l’être (démocratie, sécurité sociale retraites….)
        En tant que « Jancoviciste » convaincu, je le trouve extrêmement optimiste mais j’espère qu’il a raison.
        PS : si par hasard vous ne connaissez pas Jean Marc Jancovici, il est urgent de partir à la recherche de ces conférences, interviews et autres cours à l’école des mines (le tot sur youtube).

        Cordialement, Renaud.

          +0

        Alerter
  • Afficher tous les commentaires

Les commentaires sont fermés.

Et recevez nos publications