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Covid-19 : Dans les écoles, des taux de contamination plus élevés qu’on ne le pensait

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Le programme d’Omaha concernant le district scolaire public a testé les étudiants et le personnel asymptomatiques.

Source : ABC News, Meredith Deliso
Traduit par les lecteurs du site Les-Crises

L’impact de la Covid-19 sur le système éducatif américain. L’administration Biden lance un sommet sur la réouverture des écoles alors que les élèves et les enseignants reprennent le chemin de l’école suite à la modification des directives des Centers for Disease Control and Prevention. Nati Harnik/AP, Archives.

Une étude du Nebraska sur les cas asymptomatiques de Covid-19 dans les écoles a révélé que les taux d’infection pourraient être plus élevés qu’on ne le pensait.

OPS PROTECTS, un programme du district scolaire public d’Omaha en partenariat avec le Centre médical de l’Université du Nebraska, a révélé que les taux de contamination dans les écoles impliquées dans la première phase du programme pilote étaient deux fois et demie plus élevés pour le personnel et près de six fois plus élevés pour les élèves que ce qui a été rapporté par les auto-tests de routine et les signalements.

Le programme a également permis de détecter près de 10 fois plus de cas par population que ce qui a été observé par les tests effectués dans le comté voisin. L’étude n’a pas vérifié si les cas provenaient de l’école, mais simplement si les enseignants et les élèves arrivaient à l’école avec des cas de Covid-19 qui n’avaient pas été identifiés auparavant en raison des tests limités effectués en dehors de l’environnement scolaire.

Les résultats montrent que « jusqu’à neuf cas de Covid-19 sur dix chez les élèves et sept cas sur dix chez les enseignants pourraient ne pas avoir été détectés par les méthodes conventionnelles de signalement », a déclaré le Dr Jana Broadhurst, co-auteur de l’étude et professeur adjoint au département de pathologie et de microbiologie du centre médical de l’Université du Nebraska.

À l’école intermédiaire Norris à Omaha, Nebraska, un panneau sur le mur rappelle aux élèves de respecter les distances sociales, le 29 juillet 2020. Nati Harnik/AP, Archives

La première phase du programme a été menée de novembre à décembre dans trois écoles du sud d’Omaha, au niveau du collège et du lycée. Le nom des écoles spécifiques n’a pas été précisé dans l’étude, mais il a été mentionné que tous les enseignants et le personnel, ainsi que 12% des étudiants y ont participé.

Le district scolaire a récemment utilisé un modèle hybride, environ un quart des élèves assistant à des cours en présentiel chaque jour.

Le programme a procédé à un dépistage hebdomadaire des élèves et du personnel ne présentant pas de symptômes, à l’aide d’un test PCR salivaire que le centre médical de l’Université du Nebraska a adapté à partir du test salivaire mis au point à l’Université de Yale. Il a également été procédé à des analyses environnementales de l’air, des surfaces et des eaux usées dans les écoles.

La première phase du programme a permis de détecter 46 cas chez des personnes asymptomatiques, répartis à peu près équitablement entre les étudiants et le personnel, a précisé Broadhurst. Des échantillons d’air et de surface testés positifs ont également été trouvés mais uniquement dans les salles de chant, et l’échantillonnage environnemental a « systématiquement » trouvé la présence de Covid-19 dans les flux d’eaux usées des écoles.

Le district scolaire a mis en place des mesures « rigoureuses » d’atténuation des risques, a indiqué Broadhurst, notamment le port d’un masque, la distanciation physique, des mesures d’hygiène et l’amélioration des infrastructures.

« Tant nous-mêmes que les écoles publiques d’Omaha considérons le dépistage comme un niveau supplémentaire et une stratégie très complète pour atténuer le risque de transmission de la Covid-19 dans les écoles, a déclaré Broadhurst lors d’un point de presse virtuel. Les résultats de notre étude démontrent effectivement que la détection proactive des cas asymptomatiques dans les écoles est importante et constitue une mesure supplémentaire importante en plus des mécanismes traditionnels de déclaration des cas par auto-identification ou par d’autres moyens de test. »

Des pommes et des oranges emballées individuellement et des fruits dans des gobelets en plastique à la cafétéria lors d’une visite médiatique de la Norris Middle School à Omaha, Neb, le 29 juillet 2020, pour montrer comment les autorités scolaires se préparent au retour des élèves en période de Covid-19. Nati Harnik/AP, Archives.

Selon les chercheurs, il s’agit de la première étude de ce type dans les écoles primaires et secondaires. Les résultats du programme ont été partagés sur medRxiv.org, le serveur de préimpression pour les sciences de la santé, mais n’ont pas été soumis à l’examen rigoureux des pairs.

Une deuxième phase du programme pilote a été menée de janvier à mars et a été étendue à trois écoles de North Omaha. Ces résultats seront également communiqués au public, a précisé Broadhurst.

Les chercheurs pensent que ce programme pourrait être adapté et réalisable pour d’autres districts scolaires, en fonction des ressources disponibles.

« Ce que nous avons réussi à faire ici est une démonstration que ce programme peut être mené avec succès dans un district scolaire urbain, au sein d’une population par ailleurs défavorisée, et que nous pouvons avoir un impact immédiat sur la sécurité de nos écoles grâce à l’identification rapide des cas, » a déclaré Broadhurst.

Source : ABC News, Meredith Deliso, 20-04-2021

Traduit par les lecteurs du site Les-Crises

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Commentaire recommandé

Avunimes // 06.06.2021 à 09h11

Voici une étude scolaire qui montre qu’il existe un fameux virus dont on doit être testé pour savoir si on l’a.

En attendant certains feront parties des « happy few », libres de flatter leurs egos par un passeport au permis de jouissance internationale, afin de ne plus être testé sous peine de découvrir qu’ils l’ont encore mais, dans une variante contaminante ?

Qu’elle marque de chaussure est à la mode cette semaine, Pfizer ou Astra ? Combien de temps durera l’aliénation et la complaisance à cette marchandisation médicale ?

26 réactions et commentaires

  • LibEgaFra // 06.06.2021 à 08h01

    Je me demande combien de personnes se font contaminer en allant se faire tester…

    Idem: combien de personnes ont-elles été contaminées lors des élections municipales l’année dernière?

    Ou a-t-on tout fait pour ne pas savoir?

      +25

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  • Thomas // 06.06.2021 à 08h51

    Emballage individuel des pommes, psychose généralisée… les deux font bien la paire
    J’ai deux enfants dans deux écoles différentes et je veux bien croire qu’on va trouver des asymptomatiques dans les ecoles. Asymptomatiques qui ne transmettent pas la maladie comme la raison et la logique l’impose.. et certains mails d’un docteur F …Par ailleurs je renverrais le lecteur vers les articles et études d’avril ou mai 2020 dans lesquels le virus survivait plusieurs jours sur les surfaces en métal dans l’obscurité et sous hydrométrie et températures contrôlées…. Ou tout autre connerie qu’on nous sert depuis 1 an.

      +36

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    • Dominique 65 // 06.06.2021 à 09h48

      Cette affirmation sur la survie des virus à été formellement démentie pour que tu puisse la qualifier de connerie ?

        +5

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      • RGT // 09.06.2021 à 09h17

        Ce que dit Thomas est vrai.
        En Chine, ils ont trouvé sur des surfaces des virus encore contaminants 26 jours après exposition.

        Cette durée est exceptionnelle mais doit quand-même nous alerter sur le fait qu’une surface exposée peut être contaminante longtemps après avoir été exposée au virus.

        Le risque de contamination es plutôt faible si l’on prend des précautions élémentaires : Bien se laver les mains AVANT DE SE TRIPOTER LA BOUCHE ET LE NEZ.

        Ensuite, si vous êtres postulant aux Darwin Awards ça ne concerne que vous mais évitez de donner des « conseils avisés » aux autres car la compétition sera plus rude pour obtenir cette distinction.

          +0

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  • Avunimes // 06.06.2021 à 09h11

    Voici une étude scolaire qui montre qu’il existe un fameux virus dont on doit être testé pour savoir si on l’a.

    En attendant certains feront parties des « happy few », libres de flatter leurs egos par un passeport au permis de jouissance internationale, afin de ne plus être testé sous peine de découvrir qu’ils l’ont encore mais, dans une variante contaminante ?

    Qu’elle marque de chaussure est à la mode cette semaine, Pfizer ou Astra ? Combien de temps durera l’aliénation et la complaisance à cette marchandisation médicale ?

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    • LibEgaFra // 06.06.2021 à 11h52

      J’adore le principe de la concurrence libre et non faussée dont se réclame l’ue. Pour une fois!

      Mais mais mais, pourquoi cela ne s’applique-t-il pas aux vaccins (russe, chinois, cubains, …)?

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      • RGT // 09.06.2021 à 09h22

        Parce que ces vaccins risquent de faire une « concurrence déloyale » aux géants de l’industrie pharmaceutique en cassant les prix et en risquant de faire chuter les profits qui « ruisselleront » ensuite sur les fonctionnaires de ladite Kommission.

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  • Paul // 06.06.2021 à 09h36

    la contamination est plus importante dans les milieu clos
    donc l’école, avec les densités d’élèves par classe ne fera pas exception

    La communication officielle, elle, n’a pas été sérieuse ni neutre
    vous avez trouvé un journaliste en france qui relaie les email declassifiés aux US ?
    https://assets.documentcloud.org/documents/20793561/leopold-nih-foia-anthony-fauci-emails.pdf

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    • Jean-Do // 06.06.2021 à 19h30

      Fauci et la majorité de la communauté scientifique sont cohérents : ils se posent de questions, émettent des hypothèses, agissent en fonction de celles-ci, critiquent ou abandonnent celles qui ne donnent pas les résultats prévus et en font de nouvelles. Les courriels ne disent pas autre chose.

      On ne peut dire autant des complotistes professionnels qui ont commencé par dire que ça n’existait pas, puis que c’était pas grave, puis qu’il n’y avait tant de contagion, etc… Si nous les avions écoutés, nous serions dans la situation du Brésil & C° avec des flopées de variants plus contagieux et graves les uns que les autres. Merci la science et zut pour ceux qui voient des complots partout. Il y en a, bien sûr, mais avant de jouer avec la vie des autres, il faut un peu de méthode scientifique.

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  • Dominique SAUVEBOIS // 06.06.2021 à 10h12

    Et un petit tour discret en arrière (24.03.2021), truffé des mensonges globalistes, pour inciter les jeunes à se ruiner la santé si cher à Big Pharma ! …
    C’est vraiment pousser trop loin le bouchon !

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  • Oceane // 06.06.2021 à 11h34

    Tiens donc lorsqu’il faut ouvrir les écoles et aller travailler les enfants ne sont pas porteurs et peu transmetteurs du virus et on ne trouve aucune situation de transmission dans des transports en commun, comme par hasard. Pour tant on a trouvé une transmission dans un TGV il y a peu.

    Maintenant qu’il s’agit de vacciner enfants et adolescents ils redeviennent potentiellement porteurs.

    On nous prend donc pour des lapins de deux semaines. Les histoires de virus ne cherchent même plus ni la cohérence dans le temps, ni la vraisemblance. Toute cette communication est purement publicitaire pour nous faire acheter du vaccin, car même si c’est gratuit grâce à la SS c’est nos cotisations et impots qui payent.

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  • LibEgaFra // 06.06.2021 à 11h58

    Si vous avez été malade, le taux d’anticorps après 13 mois reste très important. Et on dit qu’il vous faut une piqûre de vaccin. Pourquoi? Pour engraisser les labos pharmaceutiques!

    Et a-t-on droit à ce passe sanitaire sans vaccination, mais avec anticorps?

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    • Paul // 06.06.2021 à 12h20

      l’europe a validé le passport, l’europe a validé l’enregistrement et la transmission de toutes vos données, l’europe vient de valider l’espionnage de TOUS vos moyens de communications…..

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    • Sandrine // 06.06.2021 à 12h47

      Je doute que ce soit envisageable.
      Pour l’instant, de nombreux pays exigent un test PCR avant d’autoriser l’entrée sur leur territoire même pour les personnes vaccinées.

        +0

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      • Havoc // 06.06.2021 à 15h16

        Il n’y a pas d’obstacle technique à délivrer un certificat immunitaire suite à un prélèvement sanguin suivi d’un test sérologique. Si on voulait le faire, ce serait possible.

        Cela dit, recevoir une dose d’un des vaccins de l’automne prochain qui intégreront les définitions des variants préoccupants ne serait pas inutile.

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        • Paul // 06.06.2021 à 16h31

          ah ah
          Je croyais qu’ils étaient efficaces contre les variants.
          D’ailleurs, la question se pose, pourquoi une personne ayant reçu ses 2 doses pourrait aller tranquillement en avion ou a un rassemblement sans test alors qu’ils disent bien partout que ça n’empêche pas de contracter et/ou de pouvoir transmettre ?
          Sinon, on en reparle dans quelques années, avec du recul … Vous aurez une autre vision.
          En attendant, regardez les mails de Faucy et d’un ancien dirigeant…

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          • Havoc // 06.06.2021 à 17h23

            C’était une drôle de croyance alors, car « ils » n’a pas de sens dans votre phrase. Le vaccin de l’Université d’Oxford, par exemple, est relativement inefficace face aux variants préoccupants. Les vaccins basés sur le principe de l’ARN messager ont à l’inverse montré une plutôt bonne efficacité.

            « Ils » (décidément !) ne disent pas partout que l’immunité conférée par la vaccination n’empêche pas de contracter/transmettre le virus SARS Cov2. Au contraire, la plupart des études soulignent que les personnes vaccinées qui ont développé une immunité sont beaucoup moins susceptibles de transmettre le virus, ce qui est relativement attendu comme résultat, étant donné que plus de 80% d’entre elles ne développent pas la maladie.

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            • Brigitte // 06.06.2021 à 20h31

              Pour l’instant, d’après mes infos, les tests d’efficacité comparée sont « in-vitro » publiés dans un pre-print, donc très préliminaires. https://doi.org/10.1101/2021.05.09.443299;
              si vous avez mieux, merci de partager. En particulier pour l’astra-zenecca, que l’on dit inefficace mais qui le dit?
              Les vaccinés sont-ils des asymptomatiques? On ne sait toujours pas bien dans quelle proportion les asymptomatiques transmettent le virus….alors, les vaccinés, encore moins. En plus, tout dépend du variant qui circule; On en saura peut-être plus après le test grandeur nature des vacances.

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            • Sandrine // 06.06.2021 à 23h41

              Mais les asymptomatiques non plus ne développent pas la maladie…
              Cela voudrait dire qu’à l’instar des personnes vaccinées ayant développé une bonne immunité, les asymptomatiques sont « beaucoup moins susceptibles de transmettre le virus ».
              Vertigineux.

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            • Paul // 07.06.2021 à 08h06

              mais Havoc,pour vous il n’existe aucun doute ?

              On dit bien que 80% ne developpe pas.
              Mais quand il s’agissait d’un produit marseillais , les gens disaient déjà qu’à 80% les gens ne developpaient pas la maladie. Quelle est cette différence d’angle d’approche ?

              H: « ont à l’inverse montré une plutôt bonne efficacité. »
              ah oui, où sont les 93 à 96% d’immunisation.
              Si vous êtes bien informé, vous savez bien que nous sommes en phase 3 pour encore 1 an 1/2.

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            • RGT // 09.06.2021 à 09h43

              La particularité d’un nouveau variant qui se propage dans la population est justement le fait qu’il infectera des personnes vaccinées car il portera une mutation qui lui permet de passer sous les « écrans radar » de la vaccination.

              Compte-tenu du taux de reproduction du virus, de la durée d’une « génération » et de son taux de mutation la probabilité d’un nouveau variant qui « résiste » à la vaccination est loin d’être négligeable.

              La vaccination est très efficace contre des virus qui ne mutent pas (ou très peu à l’échelle humaine) mais nécessite de créer sans cesse de nouveaux vaccins pour les nouveaux variants.

              Un exemple bien connu est celui de la grippe saisonnière : Le vaccin est efficace (si c’est le bon) uniquement pendant la durée de la pandémie.
              L’année suivante, le virus a muté et le vaccin ne protège plus non pas suite à une perte de l’immunité mais parce que le virus n’est plus exactement le même.

              Le SARS-Covid19 est encore plus « taquin » car non seulement il mute rapidement mais de plus les coronavirus ont la particularité « amusante » d’entraîner une « amnésie » du système immunitaire après quelques mois.

              Le meilleur espoir pour les humains (à titre individuel) consisterait en une variante STABLE du SARS-Covid très contagieuse mais peu dangereuse (comme ses « copains » coronavirus des rhumes saisonniers) qui prendrait le dessus sur les souches moins contaminantes mais létales.

              Chaque année vous attrapez le même variant de virus de rhume qui ne vous apporte qu’une gène passagère et 6 mois après l’infection votre organisme a totalement oublié que vous avez été infecté.

              Pas besoin de vaccin, il n’y a aucun danger et tout et monde s’en fout.

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  • Fabrice // 06.06.2021 à 13h18

    Franchement il ne fallait pas sortir de Saint-Cyr et bientôt il sera confirmé que les contaminations se faisaient dans les transports en commun faut vraiment qu’ils arrêtent les évidences, qui parce qu’elles sont niées par les donneurs d’ordre qu’il faut croire qu’elle n’existent pas ! La réalité n’est pas un « storytelling » si apprécié par nos élites.

      +12

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    • V_Parlier // 11.06.2021 à 20h51

      Je ne sais plus quel « officiel » disait qu’ils n’avaient « pas identifié de clusters dans les rames de métro », comme si c’étaient les mêmes personnes dans les mêmes rames chaque jour sur lesquelles ont pouvait établir des statistiques! Là j’ai vu qu’on avait touché le fond, mais ça n’a pas surpris grand monde.

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  • Rémi // 07.06.2021 à 09h07

    Donc la nouvelle définition de la santé ce n’est plus ne pas avoir de symptomes de maladie, mais ne pas avoir de germes?
    bon bien une PCR par semaine pour tout tester est une mesure necessaire á la bonne santé.
    Et puis comme cela nous seorns mur pour les habitats spatiaux.

      +10

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    • V_Parlier // 11.06.2021 à 20h53

      Et puis il ne faut pas se restreindre au Covid! Un test chaque semaine pour toutes les maladies contagieuses à risques! Ca en fait plusieurs par jour mais l’ordre sanitaire n’a pas de prix…

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  • RGT // 09.06.2021 à 09h54

    En France aussi la situation dans les écoles est très préoccupante car les classes surchargées ne permettent PAS de garantir une « distanciation sociale » (je dirais plutôt une « distanciation physique ») suffisante.

    Et essayez simplement d’empêcher des gamins de se faire des papouilles, de jouer ou de se bagarrer…

    Sans compter sur le fait que les « élites » de l’éducation nationales affirment avec aplomb que les contaminations se font en dehors de l’école.

    Quant aux masques distribués aux personnels je n’oserai même pas les porter lors d’un carnaval…

    Sans parler de la vaccination qui aura lieu aux calendes grecques…

    L’objectif réel est de débarrasser les parents du fardeau de leur progéniture (dans ce cas, pourquoi faire des gosses ? Oh pardon, il faut bien de nouveaux esclaves cons-sommateurs) afin qu’ils puissent aller se faire contaminer sur leur lieu de travail, dans les transports ou dans les supermarchés..

      +3

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