Un article émanant des trostkistes américains, et parlant principalement de « Google News »
Source : World Socialist Web Site, Andre Damon, 21-10-2017
Dans une expansion généralisée de ses mesures visant à censurer Internet, Google a supprimé les principaux sites Web et journalistes de gauche de sa plate-forme d’agrégation d’articles d’informations, Google News.
Au moment de la publication de cet article, une recherche pour « World Socialist Web Site » sur news.google.com ne renvoyait pas un seul article publié sur le WSWS. Une recherche du titre exact de l’un des articles publiés pendant cette période ne donne par ailleurs aucun résultat.
Au cours des sept derniers jours, news.google.com n’a redirigé que 53 personnes vers le World Socialist Web Site, ce qui représente une baisse de 92 pour cent pour la moyenne hebdomadaire par rapport aux plus de 650 au cours de la dernière année.
Le journaliste et auteur Chris Hedges, titulaire du prix Pulitzer, a informé le WSWS mercredi que ses articles avaient cessé d’apparaître sur Google News. Hedges a déclaré que le changement est survenu après la publication de son entretien [en anglais] avec le World Socialist Web Site dans lequel il a dénoncé la censure par Google des sites de gauche.
« Quelque temps après avoir accordé cet entretien, ils m’ont mis sur liste noire », a déclaré Hedges. « Si vous allez dans Google News et tapez mon nom, il y a six articles, dont aucun n’a un rapport avec moi. »
« J’écris constamment. Auparavant, Google News a listé mes articles pour Truthdig et mes contributions à Common Dreams et Alternet, ainsi que des références à mes livres », a déclaré Hedges. « Mais maintenant tout s’est volatilisé. Et je suis certain que c’est parce que je me suis prononcé contre la censure par Google. »
Google semble avoir conservé une version plus ancienne de son système d’agrégation de nouvelles disponible en ligne, accessible en se rendant sur google.com et en cliquant sur le lien news sous la barre de recherche. Cette version d’agrégation de nouvelles, qui semble être en voie de disparition, répertorie 254 000 résultats pour la recherche « World Socialist Web Site ».
De même, une recherche pour « Chris Hedges » renvoie 89 600 entrées.
Les changements apportés à Google News marquent une nouvelle étape dans une campagne systématique de censure et de mise sur liste noire qui a débuté au moins depuis avril, lorsque Ben Gomes, vice-président chargé de l’ingénierie, a déclaré que Google cherchait à promouvoir des médias « fiables » par rapport aux sources de nouvelles « alternatives ».
Depuis lors, treize principaux sites web de gauche ont vu un effondrement de 55 pour cent de leur fréquentation via le moteur de recherche de Google, de même pour le World Socialist Web Site qui a connu une chute de 74 pour cent de sa fréquentation depuis le moteur de recherche.
« Rien que du point de vue d’un journaliste, c’est terrifiant », a déclaré Hedges. « Ceux qui essaient toujours de faire du journalisme, ce sont eux qui en pâtissent ; en particulier les journalistes qui tentent de s’attaquer aux problèmes de pouvoir et de l’intégration entre les grandes entreprises et l’État. »
« Cela montre non seulement comment l’état est en faillite, mais aussi combien il est effrayé », a déclaré Hedges.
« Google développe des méthodes de plus en plus intensive de ciblage visant à bloquer toutes les voix critiques dissidentes », a déclaré David North, le président du comité de rédaction international du World Socialist Web Site.
« C’est une attaque sans précédent contre la liberté d’expression. Dans l’histoire des États-Unis, la censure à cette échelle n’a jamais été imposée en dehors de la guerre », a-t-il ajouté, soulignant le blocage des publications trotskystes pendant la Seconde Guerre mondiale.
Hedges a noté le précédent de la répression politique pendant la Première Guerre mondiale. « Au nom de la sécurité nationale, pendant toute la durée de la guerre, The Masses, un journal de gauche anti-guerre a été privé de publication. »
L’intensification de la répression par Google contre les sites de gauche a lieu dans le contexte d’une forte accélération de la campagne anti-russe menée par les démocrates du Congrès, ainsi que des sections du Parti républicain, des agences de renseignement américaines et les principaux médias.
Jeudi, les sénateurs du Parti démocrate Mark Warner et Amy Klobuchar ont présenté le premier texte législatif issu de la campagne entourant l’affirmation selon laquelle la Russie cherchait à « se mêler » de l’élection de 2016 en « semant des divisions » au sein de la société américaine, une théorie du complot non-étayée visant à créer une justification pour la censure d’Internet.
Un résumé du projet de loi obtenu par Axios voudrait que « les plateformes en ligne déploient des efforts raisonnables pour s’assurer que les personnes et entités étrangères n’achètent pas d’annonces politiques afin d’influencer l’électorat américain » et pour maintenir une base de données des publicités politiques prétendument achetées par des étrangers.
Dans ses remarques annonçant le projet de loi, Warner a précisé que son but était de l’utiliser comme point de départ pour des restrictions plus agressives sur la liberté d’expression sur Internet. « Ce que nous voulons essayer de faire est de commencer par une touche légère », a déclaré Warner.
Commentant le caractère pas à pas du régime de censure créé aux États-Unis, M. Hedges a déclaré : « Si vous regardez un système totalitaire, leur attaque contre la presse se fait pas à pas. Ainsi, même dans l’Allemagne nazie, quand Hitler prenait le pouvoir, il interdisait les publications des sociaux-démocrates pendant une semaine et les laissait par la suite de réapparaître. Il ne fermait pas l’ensemble d’un seul coup. »
« Google est impliqué dans une conspiration ouvertement politique, en coordination avec le gouvernement », a déclaré North. « Un logiciel secret de censure a été créé et dirigé contre les opposants à la politique étrangère américaine. C’est une attaque illégale contre les droits protégés par la Constitution. »
Hedges a ajouté : « Je peux vous dire, après avoir vécu sous, et avoir écrit sur, des régimes despotiques, je pense que nous devons tirer toutes les sonnettes d’alarmes pendant que nous en avons encore l’occasion, parce qu’ils ne vont pas s’arrêter. »
(Article paru en anglais le 20 octobre 2017)
Source : World Socialist Web Site, Andre Damon, 21-10-2017
Censure et chaussettes roses
Source : Le Monde diplomatique, Pierre Rimbert, 01-01-2018
L’un, Google, prétend « organiser l’information du monde et la rendre universellement accessible et utile ». L’autre, Facebook, veut « rapprocher le monde » en connectant les gens. Chaque jour, plus d’un milliard de personnes utilisent ces services comme s’ils échappaient aux pesanteurs politiques avec autant d’agilité que leurs maisons mères esquivent leurs obligations fiscales. Générés par de froids algorithmes, les résultats d’une requête ou la sélection du fil d’actualité nous paraissent aller de soi : déformés par la publicité, certes, mais imperméables à l’idéologie. On n’accuserait pas un tuyau de gauchisme ou d’atlantisme. On devrait.
Le 18 novembre dernier, lors d’un forum international sur la sécurité, M. Eric Schmidt, alors président exécutif d’Alphabet, la société qui contrôle Google, répond à un utilisateur allemand indigné de recevoir sur son smartphone trop d’alertes Google en provenance de l’agence publique russe Sputnik : « Nous travaillons sur la détection et le déréférencement de ce genre de sites, je pense à RT et à Sputnik. Nous sommes bien conscients de ce qu’ils font — on en a beaucoup parlé — et nous essayons d’élaborer un système pour empêcher cela . » Avec sa cravate fuchsia et ses chaussettes assorties, M. Schmidt vient tranquillement d’annoncer que le moteur de recherche le plus utilisé dans le monde truquerait désormais ses résultats au détriment de certains médias suspects de véhiculer des fake news (« fausses nouvelles »). Pas n’importe lesquels : les seuls ouvertement visés figurent dans le collimateur du ministère de la défense américain, dont M. Schmidt est par ailleurs conseiller. Sous pression depuis l’élection présidentielle de 2016, Facebook et Twitter pourchassent les publicités achetées par des comptes associés au Kremlin, tandis que Google s’emploie à renvoyer dans les profondeurs du classement les résultats trop proches des vues de Moscou.
Mais comment séparer automatiquement le bon grain de l’ivraie ? « Dans un communiqué publié le 25 avril, M. Ben Gomes, vice-président de l’ingénierie de Google, a déclaré que la nouvelle version du moteur de recherche rétrograderait les sites “offensants”, et ferait remonter plus de “contenus faisant autorité” », écrivent Andre Damon et David North, du World Socialist Web Site (wsws.org, 2 août 2017). Aidé d’une société d’analyse de référencement, ce site trotskiste a mesuré les effets du nouvel algorithme qui, par défaut, présuppose les médias dominants fiables et la presse alternative louche. « On observe une perte importante de lectorat des sites socialistes, antiguerre et progressistes au cours des trois derniers mois, avec une diminution cumulée de 45 % du trafic en provenance de Google. » Entre mai et juillet 2017, les visites de wsws.org issues de Google ont chuté de 67 %, celles du réseau Alternet.org de 63 %. La plate-forme audiovisuelle Democracynow.org enregistre un plongeon de 36 % ; Counterpunch.org, de 21 % ; et Theintercept.com, de 19 %. « Dans la bataille contre les “fake news”, alerte l’association américaine Fairness and Accuracy in Reporting (FAIR) (1), une grande partie des reportages les plus indépendants et les plus précis sont en train de disparaître des résultats des recherches effectuées dans Google . » Tuer le pluralisme au nom de l’information ?
Pierre Rimbert
(1) Robin Andersen, « Backlash against Russian “fake news” is shutting down debate for real », Fair.org, 29 novembre 2017, dont le présent article reprend plusieurs éléments.
Source : Le Monde diplomatique, Pierre Rimbert, 01-01-2018
P.S. Google a par la suite démenti les propos de son PDG (sic.)
Nous vous proposons cet article afin d'élargir votre champ de réflexion. Cela ne signifie pas forcément que nous approuvions la vision développée ici. Dans tous les cas, notre responsabilité s'arrête aux propos que nous reportons ici. [Lire plus]Nous ne sommes nullement engagés par les propos que l'auteur aurait pu tenir par ailleurs - et encore moins par ceux qu'il pourrait tenir dans le futur. Merci cependant de nous signaler par le formulaire de contact toute information concernant l'auteur qui pourrait nuire à sa réputation.
Commentaire recommandé
On voit bien d’où vient l’inspiration de M. Macron à propos d’internet et des « fakes news ». Ce président sera-t-il un jour autre chose qu’un homme de paille dénué de toute conviction politique?
70 réactions et commentaires
On voit bien d’où vient l’inspiration de M. Macron à propos d’internet et des « fakes news ». Ce président sera-t-il un jour autre chose qu’un homme de paille dénué de toute conviction politique?
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Alerter» Ceux qui réussissent et ceux qui ne sont rien » : personnellement, cela me suffit à titre de conviction politique, à moins qu’il faille qualifier cette formule d’anthropologique sous-jacente, ce qui serait pire encore.
+4
AlerterJe suis certain que très peu de gens ont eu la présence d’esprit de se poser la question
du » comment »gueugueule allait payer ses impôts …..Il semblerai que la réponse est ;
vous les klons..! et deux fois ! …1) bercy (Nous) l’a dans l’os . 2) Même pas la possibilité contester.
Au secours Doctor Mengele nos sadiques gouvernants nous torturent ….
+2
AlerterComment éviter Google ?
Qwant est-il un moteur fiable et qui en sont les concepteurs ?
Existe-t-il d’autres solutions ?
Il serait très utile que le site »les Crises » s’ouvre à cette recherche !
+21
AlerterBonjour Lyonnais
La suite Framasoft est un réseau dédié à la promotion du « libre » en général et du logiciel libre en particulier. Peut être devriez vous essayer Framabee, un metamoteur de recherche agrégeant de manière anonymisée les résultats des autres moteurs de recherche?
+14
AlerterBonjour.
Qwant est une bonne solution. Il s’agit d’un moteur de recherche franco-européen. Son équipe s’engage à ne pas enregistrer les données utilisateurs. Son patron a expliquer que les revenus dégagés par la publicité lui permettent de bien vivre et de se développer. On peut facilement trouver le nom de son directeur sur internet ; il est passé dans plusieurs émission radio…
Voyez aussi Protonmail, comme service mail. C’est Suisse. Une entreprise créée par des ingénieurs du CERN. Ils assurent ne pas lire vos mails et offre une très forte sécurité.
Pour tout les autres services (hébergement, cloud, DNS, adresse IP…) adressez-vous à OVH. C’est un poid lourd de l’informatique et français.
Par contre pour la facilité d’usage avec un smartphone, sous android, je n’ai rien trouvé de plus pratique que les outils de google.
Bonne journée
+23
AlerterJe suis passé complètement sur Qwant comme moteur de recherche sur mon smartphone Android. J’ai installé leur propre navigateur internet, que je trouve très pratique, et pour la recherche directe à partir de l’écran d’accueil, j’ai installé l’application SearchBar Ex qui peut être très facilement configurée pour utiliser Qwant. Pas de moteur de recherche ou de navigateur Google sur un système déjà fait par Google chez moi. ?
+7
Alerteril ne reste plus qu’à virer android 😉
Je n’ai pas d’alternative pour le moment, mais il y a un smartphoto linux en dev.
Pareil, l’utilisation de windows revient à renoncer à sa vie privée.
Triste constat de voir que l’informatique est devenu un spyware permanent. Et dire qu’il faudrait aussi ajouter un VPN pour être vraiment safe.
+5
AlerterAndroid peut être purgé de ses applications Google: utilisez Lineage OS, vous ne serez plus pisté ni espionné. N’utilisez que des applis venant de Fdroid. Il y a encore des personnes qui se soucient de leur liberté.
+2
AlerterComme alternative à Android il y aurait en principe Tizen (linux foundation, intel, samsung). Il semble difficile d’acheter un tél avec Tizen en Europe, je n’ai pas trouvé. Si qqun a l’info, je suis preneur. Dès que j’en ai la possibilité, j’essaie d’installer l’os sur mon tél à la place d’Android.
+0
AlerterEt vous pensez que google n’a pas les moyens de savoir ce qui se passe sur un mobile android si vous n’utilisez pas ses applications ?
Je crains que vous ne soyez un peu trop naïf…
+3
AlerterIl faut « rooter » son téléphone, c’est-à-dire en devenir administrateur. La procédure est un eu complexe, mais on peut s’adresser au fabricant pour l’avoir détaillée.
Par contre la garantie s’annule automatiquement pour un téléphone « rooté ». Ne pas oublier de faire une sauvegarde complète avant 😉
+3
AlerterVous en dites trop ou pas assez.
Pour communiquer un ordinateur – ce qu’est un smartphone – a besoin de programmes et d’une connexion.
Il y aurait donc dans un smartphone X sous Android d’une ASIC et/ou des programmes cachés en standard, à l’insu ou avec la complicité du fabricant?
+0
Alertersur Qwant vous arrivez directement sur
https://www.wsws.org/fr/
le site en français
+0
AlerterOVH, c’est déjà trop gros ! Je leur préferes Gandi. J’ y suis depuis des années, ils sont Français, ne font jamais de pub. En gros, j’ aime bien leur ethique.
Vraiment à encourager…
+5
AlerterBonjour
J’utilise DuckDuckGo. Étant formateurde base (« format c: *.* »), je ne saurai dire s’il est moins inquisiteur que Mr G. A vous de me le dire!
+2
AlerterJ’utilise aussi le même et j’en suis très satisfait.
Une recherche sur l’article censuré chez Google avec ceci :
200000 protest jailing of Catalonian
me donne la bonne page du world socialist web site dès le premier résultat sorti par DuckDuckGo. Voilà un moteur de recherche qui fait son boulot, pas de la politique.
+2
AlerterPour le smartphone Gaël Duval créateur de Mandrake Linux entre autre, lance eelo sur kickstater pour des smartphones sans androïd et qui respectent la vie privée
https://www.eelo.io/
https://www.kickstarter.com/projects/290746744/eelo-a-mobile-os-and-web-services-in-the-public-in
+2
AlerterJe vais te répondre car ta réponse est soit :
– malhonnête (j’en doute),
– naïve( misant sur l’humain … je choisis cette dernière).
Les cloud sont des pièges à âmes humaines. Il vous faut les fuir, les résistants du XXIème siécle ne se fourniront pas chez Moncento, Bayer, Google, HP, microsoft, ovh etc …
La centralisation (qwant etc etc) une mise en esclavage en régle, les bons sites c’est par le bouche à oreille, les canaux de chat (irc), les forums : faut arretez avec les google etc à part vous orientez vers ce qu’ils veulent …. personne ne lit la deuxième page de résultats,reflechissez un peu !!
Réveillez vous bon sang, ré-humanisez vous, élevez vous en laissant de côté 5 secondes l’apparente facilité d’un iPhone. ! On bosse sur Librem5 et pureos pour virer android et apple, croyez en vous.
Prenez une connexion adsl haut debit, voir la fibre (pensez FAI alternatifs) .. et hébergez chez vous vos propres services, c’est vraiment simple : dotez vous d’un NAS, ca coute moins chez qu’une console de jeu.
+2
AlerterJ’utilise Qwant quotidiennement et j’en suis très satisfait. Son principal intérêt par rapport à Google est que son modèle économique ne repose pas sur l’utilisation ou la vente des informations personnelles de ses utilisateurs, ce qui évite très certainement certaines dérives. C’est également un moteur européen (leur siège social semble être en France), donc non soumis à la politique des Etats Unis.
Maintenant, pas sûr que ce qui se profile chez nous soit beaucoup mieux… Et autant aujourd’hui, quelqu’un qui veut faire disparaître quelque chose des moteurs de recherche va s’adresser en priorité à Google, autant si Qwant devient populaire, ils finiront par recevoir les mêmes injonctions et seront bien obligés de s’y plier…
+12
Alerter« C’est également un moteur européen (leur siège social semble être en France), donc non soumis à la politique des Etats Unis. » holà, on s’emballe un peu quand même:)
+7
Alerterj’utilise l’irc : la messagerie instannée libre, je ne googlise pas beaucoup, les gens partagent tellement d’info de nom de site etc … de recettes !
La solution : elle est devant vous , nous , c’est nous
+0
AlerterBonjour Lyonnais.
Et si vous faisiez Vous l’effort de chercher plutôt que de déléguer à Les-Crises? En politique Vous déléguez aussi?
quelques pistes:
#GAFAM
https://stallman.org/
https://framasoft.org
https://framalibre.org/alternative-free-softwares
+2
AlerterJ’utilise Startpage sous Windows, le moteur de recherche de Ixquick. L’avantage est qu’il n’y a pas de pubs.
D’après la page d’accueil, aucune information n’est logguée, il s’agit d’un métamoteur ie il interroge plusieurs moteurs de recherche dont « Gogol’ !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ixquick
+0
AlerterJ’ai essayé ces deux requetes citées dans l’article, dans Qwant, c’est pas folichon non plus.
+0
AlerterJe signale un article récent du WSWS en français :
Les gouvernements et les entreprises intensifient la censure sur Internet et les attaques contre la liberté d’expression
Par André Damon
8 janvier 2018
https://www.wsws.org/fr/articles/2018/01/08/pers-j08.html
+6
AlerterLe 16 janvier 2018, le World Socialist Web Site accueillera une discussion vidéo en direct sur la censure d’Internet, mettant en vedette le journaliste et contributeur de Truthdig Chris Hedges, et le président du Comité de rédaction international du WSWS, David North.
+4
AlerterEn tout cas, les « french socialists » ainsi que les « US dems » ne seront sûrement pas pénalisés par la censure. Ils seront les premiers à l’exiger!
+0
AlerterEt bien nous y voilà. Si un moteur efficace et open se présente, il cassera la baraque de google-nsa. La nature a horreur du vide.
+3
AlerterLe ménage a bien commencé en octobre/novembre.
Certains sites que je fréquentais, pas forcément orientés thématique politique mais relayant des lectures différentes des « grands médias », se sont retrouvés subitement en page 7,8 ou 10 de la recherche Google alors que jusqu’alors sur leur principal thème ils apparaissaient dans les premiers résultats au vu de leurs audiences.
Nous sommes donc bel et bien face à une intention délibérée des principaux moteurs de recherche d’édulcorer les regards sur le monde.
Et en France, au niveau politique, on voit les mêmes qui avaient un discours ferme sur la liberté d’expression lors des attentats de Charlie venir aujourd’hui nous expliquer qu’il faut censurer certains sites…. sans honte les mecs, sans honte aucune… Eh Charlie, toi que j’ai aimé et connu assidûment (avant la période Vall’seuse) il y plus de vingt ans, oui Toi, quand est-ce que tu te réveilles pour écrire là-dessus enfin!
+9
AlerterCharlie, c’est fini,
Et dire que c’était l’hebdo
De mon premier amour,
Charlie, c’est fini,
Je ne crois pas
Que j’y retournerai un jour
Et ainsi de suite : Libé, Le Monde, etc
+20
AlerterA dire vrais, je ne vois pas de problème, mais plutôt une mesure de gogol salutaire!
Pensez-y, d’après les sondages 79% des Français serait enclin à croire aux conspis, s’ils ne peuvent plus se nourrir auprès de gogol ils iront ailleurs.
Je crois que commercialement parlant ils ont fait une grosse boulette.
dans quelques temps on entendra parler des actionnaires, là cela sera marrant…..
Par contre
+3
AlerterAu fait, j’ai tenté de retrouver des articles du site Les Crises sur Google… ça donne pas grand-chose. Pareil pour le Monde Diplomatique
+8
AlerterLe WSW pourtant « de gauche » est maintenant « déréferencé » et même cité comme « iste » sur la black-liste, un comble, alors oui il donne des infos importantes sur l’état de notre monde et il paie son honnêteté contrairement à d’autres que je ne nommes pas. Tout ça pour que les « élites » masquent leurs forfaits de tous les jours. Qui l’eu cru alors on préfère nous parler de la Chine ou de l’Iran, Russie comme si la France n’était pas capable de faire de même …dans le dernier article du WSWS cité par Mollo : « Bloomberg, le service de nouvelles financières, a publié sur un blog une déclaration intitulée « Bienvenue à 2018, l’année de la censure des médias sociaux », qui a commencé par l’observation : « Cette année, ne comptez pas sur les réseaux sociaux pour fournir leur service de base : une plate-forme non censurée pour tout point de vue imaginable. La censure a déjà commencé, et elle ne fera que s’alourdir. » Voilà pour l’année 2018
+7
Alerter200.000 protest jailing of Catalonia nationalists leaders in barcelona
recherche en passant par https://moutonlibre.net/search/ qui recherche anonymement sur Google (Pas de pubs, liens directs et referrer caché) on a plusieurs pleines pages de réponses. avec plus de 80 références par pages. Donc Gougueule connaît bien les réponses mais refuse de vous les transmettre si vous n’êtes pas anonymisé…
on peut utiliser SearX aussi:
https://searx.laquadrature.net/
on peut (et salutairement l’on DEVRAIT) utiliser les services de Framasoft sur framasoft.org
https://framabee.org/
Un annuaire des principaux logiciels et alternatives libres ici :https://www.clibre.eu/
Quelques raisons de ne plus utiliser Google ici :https://stallman.org/google.html
Bref on peut se passer de la prison doréee des GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft). Il suffit juste de le vouloir…. Alors mouton or not mouton?
+9
AlerterDans le premier article : «[Deux] sénateurs […] ont présenté le premier texte législatif issu de la campagne entourant l’affirmation selon laquelle la Russie cherchait à » se mêler » de l’élection de 2016 en « semant des divisions » au sein de la société américaine […]» Ce projet de loi «voudrait que » les plateformes en ligne déploient des efforts raisonnables pour s’assurer que les personnes et entités étrangères n’achètent pas d’annonces politiques afin d’influencer l’électorat américain ». »
Et si, pour faire les choses dans l’ordre, tous ces «étrangers», autrement dit le reste du monde, décidaient de déployer des efforts raisonnables pour appliquer ces principes aux personnes et entités étatsuniennes (et il n’y a pas que des sites web) qui s’évertuent à influencer l’électorat des autres pays ? Ça ne réglerait pas la question des GI, Marines, hélicoptères, drones et frappes chirurgicales qui interviennent où et quand ça leur chante pour «se mêler» des élections, «semer des divisions au sein de la société» et «influencer les électorats».
+4
AlerterJ’utilise Qwant, c’est une équipe de développeurs français. Et franchement les résultats sont aussi pertinents que Google.
+2
Alerter« Et franchement les résultats sont aussi pertinents que Google. » C’est une critique ou un compliment ? 🙂
+7
AlerterÉvitez comme la peste tous les services en ligne situés en France…ils sont tous sous surveillance. Privilégiez la Suisse, les pays de l’Est, la Russie…
Chez Gandi, Ovh et consorts, les boîtes noires sont installées.
+1
Alerterenfin un clairvoyant , réponse censée.
Bien sure qu’elles sont posées.
Je suis chez VK et irc
+0
AlerterSuisse : en effet, je ne constate aucun des méfaits Google cités.
La censure qui s’exerce en France dans tous les domaines est effrayante et effarante.
Au point que j’abandonne le projet d’y acheter un objet immobilier !
+1
AlerterBonjour,
Google… Une entreprise privée qui cherche (hahaha!) à préserver ses intérêts et ceux de ses partenaires : rien de plus logique.
Mais leur slogan « Don’t be evil » était bien hypocrite déjà à l’époque. Ils ont eu la décence de l’abandonner il y a quelques temps. Peut-être un éclair de lucidité…
Bref, de grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités… …pour ses actionnaires.
+3
AlerterIl n’est pas possible d’avoir un site qui référence les sites sur liste noir pour que l’on puisse savoir ce qui est censuré?
+2
AlerterJe ne sais pas, par contre il existe une liste des sites dits « conspirationnistes » :
https://blogs.mediapart.fr/lucie-couvreur/blog/310116/la-liste-des-sites-conspirationnistes
On y trouve bien sûr RT en tête, et 3 sites russes dans le top 3. WSWS n’y était pas, puisque c’est une liste plutôt française, et qui date de 2016. On y trouve bien sûr tout ce que l’establishment-decodex considère comme « ennemi du ministère de la vérité ».
On trouve aussi une version 2017 sur Google (étrangement cette « info » n’y est pas censurée) et sans doute bientôt le cru 2018. Notez que « les-crises » est listé dans les deux.
+1
Alerter« Google supprime accidentellement de nombreux sites de son moteur d’actualités. »
L’informatique a bon dos, moi j’appelle cela un teste grandeur réelle, et si trop de grogne alors un petit rétropédalage, avant un autre essai.
https://www.abondance.com/actualites/20180109-18790-google-supprime-accidentellement-de-nombreux-sites-de-moteur-dactualites.html
https://searchengineland.com/google-accidentally-removes-news-publishers-google-news-289444
+8
Alerterla toute premiere chose à faire pour ceux qui ne peuvent/veulent pas se passer des services google est d’utiliser l’extension searchonymous, au moins tout ce que vous rechercherez ne sera pas associé à votre identité, meme si vous n’avez pas deloggé de votre gmail , google play, compte youtube ou autre…
quant à se passer carrement de la recherche google, autant c’est souhaitable sur le principe, autant y’a absolument aucun concurrent (Qwant bing & compagnie) qui lui arrive à la cheville en termes de resultats probants, ca risque de prendre encore du temps avant de pouvoir s’en passer completement…
+1
Alertersearchonymous.. Mais ca marche vraiment ca?
+0
Alertertu racontes n’importe quoi, et l’IRC ?
et le facebook russe ? VK
+0
Alerter« Quelque temps après avoir accordé cet entretien, ils m’ont mis sur liste noire », « Si vous allez dans Google News et tapez mon nom, il y a six articles, dont aucun n’a un rapport avec moi. » — Chris Hedges
Hum, ce pourrait-il que ce ne soit qu’une mauvaise connaissance du fonctionnement de news.google.com ? Parce que si j’y recherche le nom de quelques journalistes bien connus de notre réseau de propagande étatique, ICI Radio-Canada (Radio-Cadenas ou ICI Propagande-Canada pour les intimes…), comme Marie-Ève Bédard et Jean-Michel Leprince, le moteur ne renvois aucun résultat. Idem avec François Brousseau, qu’on croirait tout droit sorti des officines de propagande du Pentagone et de la Maison-Blanche et qui sévit à plus grande échelle (Le Devoir, La Presse, Radio-Canada). Mais en recherchant le nom des médias en question, Google News renvoie les résultats escomptés.
C’est le même phénomène qui se produit en recherchant Chris Hedges ou Truthdig.
+0
AlerterEt je crois que le World Socialist Web Site se trompe également en comparant les résultats entre Google News (news.google.com) et l’onglet Actualités (News) du moteur de recherche web (google.com, .ca ou .fr, peu importe) qui ne sont pas les mêmes services et n’ont pas les mêmes fonctionnalités, d’où la différence du nombre de résultats.
En recherchant World Socialist Web Site sur Google News, je reçois le même nombre de résultats que pour les médias « traditionnels » mentionnés dans mon autre commentaire.
P.-S. Je n’ai pas commenté pour prendre la défense de Google dont je n’utilise aucun de leurs produits, mais pour essayer de mettre un peu les choses au clair et il faut avouer que le World Socialist Web Site, que je consulte régulièrement tant dans sa version anglophone que francophone, est très souvent à côté de la plaque.
+2
Alerterrenvois –> renvoie, désolé pour l’erreur.
+0
AlerterJe tempèrerais l’article tout de même. J’imagine que cette censure doit dépendre du pays.
Depuis le Canada, je n’ai aucun problème à trouver Chris Hedges ou le WSWS que ce soit en recherche de base ou recherche des nouvelles.
Peut-être qu’aux États-Unis c’est le cas, peut être qu’en France aussi.
+1
Alerteren recherchant sur google (pas news)
World Socialist Web Site « Chris Hedges »
il me ramène un tas de pages et en premier
The elites “have no credibility left:” An interview with journalist Chris …(https://www.wsws.org/en/articles/2017/10/06/hedg-o06.html)
en 2:
Google renforce la mise sur liste noire des sites Web et des …
https://www.wsws.org/fr/articles/2017/10/goog-o21.html
j’utilise duckduckgo et aucun problème non plus.
+0
AlerterSalut–Le World Socialist Web Site a une reunion cette Mardi, 16 de Janvier, avec David North et Chris Hedges. Hedges est un journaliste radicale et North est le dirigeant du WSWS. Vous pouvez voir une video (en anglais) au sujet de cette reunion, qui sera « livestreamed » au Facebook et Youtube a 1.00h au matin (parce que le reunion est aux EEUU):
https://www.facebook.com/wsws.org/videos/10156254583354684/
Vous pouvez registrer ici:
endcensorship.org
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AlerterTesté à l’instant : news.google.com wsws est bien présent avec pas mal d’article récents chez moi. Google a du lâcher du lest concernant ce site. Ce qui ne présume de rien concernant les autres sites.
D’ailleurs je vous recommande les nouvelles méthodes éducatives made in USA https://www.wsws.org/en/articles/2018/01/10/loui-j10.html Vous je ne sais pas, mais moi j’hésiterais à confier mon enfant a cet établissement et même a le mettre à l’école.
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AlerterComme tout ceci est révélateur !
Il y a quelques semaines j’expédiais le lien de ce billet ou il très explicitement dit que gogol s’attaquera désormais aux médias de gauches.
Et hier, je mettais en ligne un autre lien, d’un autre médias qui exactement le contraire, que gogol s’attaque maintenant aux médias conservateur!
https://translate.googleusercontent.com/translate_c?depth=1&rurl=translate.google.com&sl=auto&sp=nmt4&tl=fr&u=http://dailycaller.com/2018/01/09/googles-new-fact-check-feature-almost-exclusively-targets-conservative-sites/&usg=ALkJrhj7R8Z3roq-5_njLzZrOFJXrxhdLQ
Question; lequel est vrais ? lequel est une information mensongère destinée à tromper le public?
Après réflexion, j’ai repensé à ce magnifique et éclairant billet d’Olivier sur les acteurs de la seconde guerre mondiale, où chiffre et argument à l’appui il démontrait qu’il y avait autant de gauche et de droite radicale chez les résistants et les partisans, que de nazi et de collabo de l’extrême droite à l’extrême gauche .
Il semble bien que nous soyons aujourd’hui à un carrefour de l’histoire qui se répète, où un monde qui se prétend « libéral » ressemble davantage au national-socialisme et que les souverainistes représentent le respect des normes démocratiques.
Il n’y a plus ni droite ni gauche, mais deux civilisations antagonistes qui ne manqueront pas de s’affronter à mort.
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AlerterUne de plus aujourd’hui avec gogol, qui ne se cache même plus dans ses mesures discriminatoires et censitaires, ou si vous préférez d’anastasie (http://j.poitou.free.fr/pro/html/cens/cens-intro.html)
extrait:
« Un recours collectif intenté au nom de l’ancien ingénieur Google, James Damore, et d’autres employés de Google, décrit une culture de censure et de discrimination: les gestionnaires discutent ouvertement des listes noires visant à encourager et à coordonner le sabotage des promotions, des évaluations du rendement et de l’emploi. »Les employés de Google subissent des pressions pour subir des séances de rééducation unilatérales »
Il semble de plus en plus évident, mais qui içi en doutait, que le développement hostile auquel nous faisons face n’a plus rien à avoir avec la confrontation droite/gauche, économique/sociale, mais davantage une confrontation des plus dure entre deux visions de l’organisation mondiale inconciliables.
https://translate.googleusercontent.com/translate_c?depth=2&rurl=translate.google.com&sl=auto&sp=nmt4&tl=fr&u=http://dailycaller.com/2018/01/10/anti-conservative-censorship-spreads-from-campuses-to-big-tech/&usg=ALkJrhjmaQ7nlnO92mYXyjcmo8cfv64ukg
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Alertertu parles d’une vision unipolaire vs multipolaire du monde : moi j’ai déjà choisi mon camp.
J’apprécie la diversité, la différence, c’est ainsi.
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AlerterTout est simple,pour une fois , les États Unisd’amerique ( du Nord) ont décidé avec leurs outils que sont le GAFA et Google en particulier de mener une guerre implacable à la Russie et à Poutine en particulier qui a le grand tort de résister à leur hégémonie « Potinus Delenda est » tous les moyens sont bons pour discréditer l’adversaire dans un délire paranoïaque dont nos « alliés » sont coutumiers ils apparaissent soudain comme les champions du complotisme , il est classique en effet d’accuser les autres de sa propre turpitude
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AlerterNous sommes dans la continuité d’un mouvement plus grand dont la finalité était connue depuis des lustres.
La liberté d’expression c’est pour tout le monde ou pour personne. C’est une maxime qui est pourtant parfaitement compréhensible. Pendant des années une partie de la gauche déniait le droit d’expression à de nombreux acteurs et vecteurs d’information jusqu’à inventer des termes valises comme « fachosphère » et autres. Tant que l’on est du côté du manche, on se satisfait de cela en se drapant des oripeaux de la liberté, la démocratie tout en dédaignant le droit aux autres de s’exprimer.
Le petit soucis c’est qu’on ne peut garantir d’être ad vitam aeternam du « côté du bien » et lorsque la roue tourne ces gens là sont aussi victimes du monstre qu’ils ont eux-mêmes engendré.
« Dieu se rit des hommes qui se plaignent des causes qu’ils chérissent » comme dirait Bossuet.
En attendant que les instigateurs, maintenant en partie victimes, fassent leur auto-critique (ce qui n’arrivera jamais, soyons en conscient), tout le monde est perdant.
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AlerterCe n’est pas la gauche qui a engendré ce monstre, mais le capitalisme…
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AlerterLe capitalisme c’est un mot valise qu’on met à toutes les sauces, une sorte de croque-mitaine. La censure à grande échelle n’est pas la conséquence structurelle d’un modèle économique mais la décision consciente d’un certain nombre de personnes qui se sont octroyés le droit de limiter de façon arbitraire et doctrinale la liberté d’expression des autres.
Et même si vous ne voulez pas vous l’avouer, c’est bien toutes les bonnes consciences des partis et autres associations marqués à gauche de « l’échiquier politique » qui ont initié ce mouvement de fond dont on commence à percevoir l’aboutissement.
Qui a catéchisé tout le mouvement du politiquement correct ? Qui a judiciarisé certaines opinions jusqu’à en faire un délit (passible même de prison !) ?
Le seul petit soucis c’est que maintenant ils ont progressivement le retour du bâton et on est en train de vérifier la maxime que je donnais plus haut :
« La liberté d’expression c’est pour tout le monde ou pour personne »…et bien là plus personne ne l’a.
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Alerterbah tiens, l’argent pourri , juste , tout.
C’est elle qu’il faut détruire : le précieux !
Tuons la source du mal.
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AlerterAprès vérif Chris Hedges est persona non grata aussi dans DuckDuckgo actualités ! Par contre chez Qwant il apparaît (normal c’est français) avec un entretien intéressant :
Les élites n’ont plus aucune crédibilité
https://www.legrandsoir.info/les-elites-n-ont-plus-aucune-credibilite.html
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AlerterModérateur je viens de voir quelques coms dont la longueur surpasse très largement la mienne.???
Excellente entrée en matière Loki et merci.
Seulement je dois avouer, avec tristesse sans doute plus qu’avec amertume, que l’idée propagée qui justifie les sanctions et la mise au ban de la Russie, est une sorte de moindre mal comparé à la réalité de la situation.
Par « diplomatie » le « courant porteur » dénonce publiquement l’ingérence Russe dans les élections du camp euro-atlantique, évidement tout le monde voit que cela ne tien pas la route, mais bon, on fait comme.
La réalité, c’est le factuel, ce qui est, était, et là c’est une autre vision du théâtre qui apparait.
Je passe, cause de modé, sur tous les épisodes depuis 1999 des pieds niklés du nouvel ordre mondial si cher à Sarkozy, pour arriver directement au nœud gordien, nœud malheureusement solidement entrelacé par nos propres « élites » , celui de la Syrie et de l’Ukraine.
Il faut d’abord avoir en mémoire que les peuples des pays de l’extrême est, ont cette habitude bien ancrée du « chaudron » lors d’agression extérieur. Se voir entouré, signifie pour eux un acte très inamical qui les dispose en défensive aigüe.
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AlerterIls faut aussi savoir que la Russie et l’URSS avant cela avaient demandé à plusieurs reprises d’entrer dans la communauté « euro-atlantique ».
Puis est arrivé la Syrie. Les Russes récemment ont signalé que 60000 « terroristes » avaient succombé à leur attaque. 60 divisions aux frontière de la Russie, bien armées, très bien armées.
Il n’en fallait pas plus pour comprendre les enjeux.
Tout ceci est bien triste, car nous sommes en guerre sans déclaration de guerre, mais tout y est. sauf la vérité aux populations.
Je dis tout cela sans malice, juste pour prévenir que la « censure » en temps de paix n’existe pas, et que le film est mince entre l’opposition à la guerre et l’entrave à l’effort de guerre.
Je dis ça, je dis rien…..
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AlerterDans cet article, Chris Hedges relève que : » À mesure que l’élite du pouvoir deviendra plus effrayée, ils utiliseront des formes de contrôle plus sévères, y compris l’instrument contondant de la censure et de la violence ».
Nous y sommes avec la loi Macron.
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AlerterRappel.Google est une société privée. Elle fait donc ce qu’elle veut. La meilleure réponse serait un concurrent efficace,et de faire payer à Google les impôts qu’il devrait payer,et qu’il ne paye pas! Tout le reste est du baratin. Il faut toucher au grisbi…
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Alerterj’ai tapé le titre de l’article, « Chris Hedges » dans Google. Pas de censure… Ou alors elle ne s’applique que sur le territoire US…
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AlerterAprès vérification : si le World Socialist WebSite respectait certains standards techniques clairement préférés par le moteur Google, et dont l’ensemble de la planète ‘Développeurs’ est au courant depuis fort longtemps, peut-être que ses articles seraient honorablement référencés.
Il n’est guère étonnant qu’une recherche (sélection du titre d’un article du WSWS et clic-droite ‘rechercher ‘xyz’ avec Google’) renvoie des confrères de ce site : un coup d’oeil sur les articles renvoyés montre qu’ils respectent les standards susdits.
Conclusion : avant de crier que Renault est une marque de m**** pense que ta 4L a le plancher troué depuis cinquante ans.
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