I. Philippe Béchade
Philippe Béchade VS William De Vijlder (1/2): Regards sur la conjoncture économique européenne et la politique monétaire des banques centrales – 24/0
Philippe Béchade VS William De Vijlder (2/2): Comment expliquer la reprise des exportations japonaises ? – 24/05
II. Pierre Sabatier
Barthélémy Debray VS Pierre Sabatier (1/2): Que faudrait-il pour que les marchés européens repartent à la hausse ? – 22/05
Barthélémy Debray VS Pierre Sabatier (2/2): Paris et Berlin vont créer un groupe de travail sur la zone euro – 22/05
III. Science Étonnante
IV. DataGueule
V. Euh?reka
VI. Le Reveilleur
VII. Les Répliques
VII. Les dessins
Commentaire recommandé
Re Datagueule
Exemple à 0’22: « entre 1970 et 2010 plus de la moitié des espèces vertébrées se sont éteintes » , or selon la WWF la population de vertébrés aurait diminué de 58%, pas disparu. C’est toujours inquiétant, mais la nuance est énorme. (WWF Living Planet Report 2016, page 15)
Il serait rafraîchissant de poser les problèmes écologiques en se passant du langage anxiogène (alarmisme, déclinisme), du prêchi-prêcha, et en arrêtant de juxtaposer des phénomènes pour faire un gros ensemble apocalyptique façon Valeurs Actuelles.
Passez-vous des « décodeurs » qui en fait ne font que donner leur avis, et allez aux sources. Si les sciences de la nature vous intéressent, regardez plutôt les Mardis de l’Espace des Sciences sur youtube.
17 réactions et commentaires
Re Datagueule
Exemple à 0’22: « entre 1970 et 2010 plus de la moitié des espèces vertébrées se sont éteintes » , or selon la WWF la population de vertébrés aurait diminué de 58%, pas disparu. C’est toujours inquiétant, mais la nuance est énorme. (WWF Living Planet Report 2016, page 15)
Il serait rafraîchissant de poser les problèmes écologiques en se passant du langage anxiogène (alarmisme, déclinisme), du prêchi-prêcha, et en arrêtant de juxtaposer des phénomènes pour faire un gros ensemble apocalyptique façon Valeurs Actuelles.
Passez-vous des « décodeurs » qui en fait ne font que donner leur avis, et allez aux sources. Si les sciences de la nature vous intéressent, regardez plutôt les Mardis de l’Espace des Sciences sur youtube.
+15
AlerterOui, vous avez raison, c’est bien la disparition des populations, pas des espèces. Mais il ne faut pas se voiler la face, le tour des espèces va venir: réduction des écosystèmes, changement climatique trop rapide pour de nombreuses espèces, impossibilité de migration par destruction des couloirs possibles, pollution et surtout pullulation humaine. De 1950 à aujourd’hui la population humaine a été multipliée par 3, passant de 2,5 milliards à 7,5. Il y a 5 milliards d’êtres humains en trop pour rendre la Terre habitable de manière durable. Quand la régulation interviendra elle promet d’être brutale.
+6
Alerter@Caramba
La « pullulation humaine » !?
Mais où les population humaines pullulent-elles donc?
Et qui décide de quels êtres humains sont de trop, et desquels auraient encore le droit de se reproduire? On commence par qui?
Les problèmes écologiques sont surtout locaux et régionaux. Voyez les billets d’Olivier sur les pics de pollution parisiens et le supposé nuage de Tchernobyl charbonnier Allemand, ou demandez vous simplement si l’irradiation du Rhône provient de Fukushima. Même chose pour la démographie. Même chose pour l’économie, même si elle est sensée être globalisée.
Donc les causes, les conséquences, et les solutions seront différentes selon le lieu. Oh, il y a certainement des humains dans le coup, mais tous les raccourcis ne sont pas bons à prendre.
+5
AlerterJe me souviens, quand j’étais enfant c’était la fête au printemps car ça grouillait de hannetons.
Des insectes très beaux, avec leurs antennes en peigne qui me fascinaient.
Ça fait plus de 40 ans que je n’en ai plus vu.
Leurs larves étaient censées ravager les cultures mais les discussions que j’avais eu avec des vieux paysans m’incitent à penser que ce n’était pas si grave que ça.
La destruction des hannetons a surtout profité à l’industrie chimique qui a pu écouler des quantités monumentales de pesticides (les larves vivaient sous terre, il a donc fallu inonder les sols pour les exterminer).
Sans compter les prédateurs qui n’avaient plus rien à manger si ce n’est quelques survivants hautement toxiques qui ont aussi fini par être empoisonnés.
Je pense que le hanneton est meilleur symbole des espèces exterminées par les humains.
Sans doute parce qu’ils manquent cruellement à l’enfant qui sommeille encore en moi.
Quand une population devient trop faible, l’espèce s’éteint et tout l’écosystème en pâtit.
+7
AlerterL’avantage qu’il n’y ait plus de hannetons et d’insectes c’est que maintenant, quand je fais Paris-Nice la nuit en voirure, je n’ai plus à m’arrêter une seule fois pour nettoyer le pare-brise. et je ne suis plus obligé de porter une visière pour me protéger des abeilles Arf arf arf
+2
AlerterOn commence à revoir des hannetons. Un (hanneton de la Saint-Jean) est venu me rendre visite récemment, et la semaine dernière j’en ai photographié un autre dans la nature. Le problème du hanneton est qu’il vit sa vie larvaire dans le sol pendant deux ans et qu’il n’a pas que des amis. Au Québec où j’ai habité, les mouffettes les déterrent.
+0
AlerterD’accord pour en finir avec le prêchi-prêcha et tutti quanti, mais comment fait-on pour convaincre 7 milliards d’individus qu’il faut sérieusement se serrer la ceinture sur les énergies carbonées, faute de substitut ?
Déjà que bon nombre préfèrent se ruer à la pompe au détriment des véhicules utilitaires, pour pas gâcher leur week-end de Pentecôte…
L’exagération est parfois nécessaire pour provoquer le choc qui change les habitudes, là où la nuance sera sacrifiée à l’aune de la facilité.
En clair : une Révolution verte implique une telle mutation comportementale qu’elle ne peut se faire l’économie d’un choc, qu’il soit cognitif ou environnemental.
+7
Alerter@ztong
Mentir, culpabiliser, menacer, voire punir sans preuve au nom de la bonne cause est un château de cartes.
Les faits sont les faits, et les faits sont têtus. Pas besoin d’en rajouter.
Comme le dit le proverbe Japonais: « tirer sur une plante ne la fera pas pousser plus vite ».
+3
Alerteril n’y a pas 7 milliards d’êtres humains qui polluent de manière égale ! et d’ailleurs, ceux qui polluent le plus rachètent des droits de pollution à ceux qui polluent moins, on marche sur la tête ! moi qui croyait que quand un pays avait atteint son seuil de points, il n’avait pas le droit de polluer plus et ben si ! quelle absurdité !
+3
AlerterLe contrat de 110 milliard de dollars entre les USA et l’Arabie est à comparer au PIB du Yémen.
Pourquoi le site « Les répliques » parle de 380?
Selon France Diplomatie
PIB (2015) : 39,1 milliards de dollars
+2
AlerterSi j’ai bien compris 380 milliards est la valeur des contrats signés, et parmi ceux-ci les contrats d’armement sont de 110 milliards.
+3
AlerterIl est parti Olivier Delamarche ? Parce qu’à vrai dire, pour le moment de tout ce qu’il a prédit, rien ne s’est réalisé. Au début, j’en étais assez friand, mais j’ai l’impression que c’était beaucoup de mouvement de bras.
J’ai trouvé : http://leseconoclastes.fr/2017/05/bfm-business-marche-arriere/
+0
AlerterPeut-être que maintenant que BFM se passe de DELAMARCHE, ses prédictions vont se réaliser…
Tous aux abris, avec boites de conserves et vins fins.
+1
AlerterMais mais mais c’est complètement erroné ce que raconte la vidéo euh?reka !
JK faisait du delta1 pas des warrants. En plus l’activité d’arbitragiste d’un desk de delta1 n’est pas du tout comme il le décrit ! Il s’agit de répliquer les futures sur indices par un panier d’actions plus un swap de taux et un swap de dividendes pour capturer le taux d’emprunt des actions à court terme ou moyen terme. L’arbitrage consiste à jouer le coût de financement des actions de la banque (ou d’une contrepartie) contre celui du marché. C’est une activité délicate, longue et ennuyante mais qui peut rapporter gros.
Le market making d’un desk de delta1 est sur les equity swaps, toujours en rapport au taux d’emprunt des actions.
Au final l’impact des News overnight sur le prix des actions/warrants etc est géré par le stock loan desk la plupart du temps puisque c’est leur boulot. Pas celui de JK.
Pour finir comparer le marché du neuf automobile à ceux des actions et obligations est un peu n’importe quoi. Tout ça c’est parfaitement comparable au marché de l’occasion. Le neuf c’est plutôt les IPOs (introduction en bourse), les issuances (emissions d’obligations) préparées par les départements d’origination (equity capital markets, debt capital markets) et gérées par les traders de sous-jacent le jour de l’introduction: émission.
Bref euh?reka doit revoir sa copie
+4
AlerterExcusez moi, pourriez vous traduire votre post en langage clair pour les non initiés?
+9
AlerterC’est oublier un peu vite les fall-off sur l’equity a 2 semaines, sur lequelles les agents de change ne peuvent pas swapper les NTM d’avec les DTC.
+2
AlerterUn article qui éclaire sur la « stratégie » de Trump, déjà bien au delà des gesticulations des journalistes :
http://www.leblancetlenoir.com/2017/06/ca-alors-trump-fait-ce-qu-il-dit.html
Et pendant que je pointe sur le blanc et le noir, ils ont aussi un bon article sur USA – Panama avec le général Noriega, qui éclaire également un peu l’histoire récente.
http://www.leblancetlenoir.com/2017/06/manuel-noriega-et-le-militarisme-americain.html
+1
AlerterLes commentaires sont fermés.