Source : The Guardian, Linda Geddes
Traduit par les lecteurs du site Les-Crises
Une étude de cinq mois sur le Covid long révèle que les malades se répartissent en quatre catégories en fonction de leurs symptômes.
Selon une étude, sept patients sur dix hospitalisés pour la Covid-19 ne se sont toujours pas complètement rétablis après cinq mois, et ils semblent se regrouper en quatre catégories distinctes en fonction de leurs symptômes.
L’étude, l’une des plus importantes au monde portant sur le Covid long chez les patients hospitalisés, comprend un groupe présentant un brouillard cérébral persistant, qui n’a que peu de rapport avec la gravité de leurs autres symptômes.
On estime que plus de 300 000 Britanniques ont reçu des soins hospitaliers pour la Covid-19 pendant la pandémie, et l’étude Phosp-Covid, menée à l’échelle du Royaume-Uni, a suivi la santé de 1 077 de ces personnes sorties de l’hôpital entre mars et novembre 2020, allant des patients en soins intensifs à ceux qui n’ont séjourné que quelques heures à l’hôpital.
Cinq mois plus tard, les patients présentaient en moyenne neuf symptômes persistants, dont un sur cinq atteignait le seuil d’un nouveau handicap. Parmi ceux qui avaient auparavant un emploi, 18 % n’avaient pas pu travailler depuis le déclenchement de l’infection à la Covid-19.
Les 10 symptômes les plus courants qu’ils ont signalés sont les suivants : douleurs musculaires, fatigue, ralentissement physique, altération de la qualité du sommeil, douleurs ou gonflements articulaires, faiblesse des membres, essoufflement, douleurs, perte de mémoire à court terme et ralentissement de la pensée. Plus d’un quart d’entre eux présentaient également des symptômes cliniquement significatifs d’anxiété et de dépression, et 12 % présentaient des symptômes de syndrome de stress post-traumatique (SSPT) au bout de cinq mois.
« Une grande partie de la diversité des problèmes persistants ne s’expliquait pas par la gravité de la maladie aiguë – cette dernière étant largement due aux lésions pulmonaires aiguës – ce qui indique d’autres mécanismes sous-jacents, peut-être plus systémiques », a déclaré le Dr Rachael Evans, professeur associé à l’université de Leicester et consultant en pneumologie dans les hôpitaux de Leicester, qui a cosigné l’étude.
L’étude, qui n’a pas encore fait l’objet d’un examen par les pairs, a révélé que les patients se répartissaient en quatre groupes différents en fonction de leurs problèmes mentaux et physiques : les personnes souffrant de très graves problèmes de santé mentale et physique représentaient 17 % des patients ; les personnes souffrant de graves problèmes représentaient 21 % ; les personnes souffrant de légers problèmes représentaient 46 % ; le quatrième groupe, qui souffrait d’un brouillard cérébral prononcé et de problèmes modérés, représentait 17 %.
Les femmes blanches d’âge moyen étaient les plus susceptibles d’appartenir aux deux premières catégories – en particulier si elles étaient obèses et souffraient de maladies préexistantes telles que le diabète de type 2 et les maladies cardiaques ou pulmonaires. « Il se peut que la réponse immunitaire soit différente chez les femmes, de sorte que la réaction inflammatoire se poursuit et qu’elles soient plus susceptibles de souffrir d’un Covid long », a déclaré Chris Brightling, professeur de médecine respiratoire à l’université de Leicester et chercheur principal de l’étude. Les femmes d’âge moyen sont également plus sensibles à d’autres maladies auto-immunes.
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Curieusement, les personnes présentant les symptômes continus les plus légers comprenaient souvent des personnes âgées de 70 ans et plus, ainsi que des personnes de moins de 40 ans. La raison de ce phénomène n’est pas claire, mais il se pourrait que les individus plus âgés qui ont survécu à l’infection soient relativement en bonne santé dans l’ensemble, ou qu’ils soient moins sensibles à l’auto-immunité car les personnes âgées ont tendance à avoir des réponses immunitaires plus faibles.
Cependant, les hommes âgés ayant un indice de masse corporelle normal étaient les plus susceptibles de développer un brouillard cérébral. « Il y a beaucoup d’incertitude sur ce qui motive ce phénomène, mais il semble être légèrement déconnecté des autres symptômes et handicaps que nous observons », a déclaré John Geddes, professeur de psychiatrie épidémiologique à l’Université d’Oxford, qui a également participé à l’étude.
Brightling a déclaré : « Nos résultats confirment la nécessité d’une approche proactive du suivi clinique avec une évaluation complète incluant les symptômes, la santé mentale et physique, mais aussi une évaluation objective de la cognition. Les quatre groupes de gravité mettent en évidence le potentiel de différenciation des soins, mais aussi la nécessité d’un large accès aux services cliniques polyvalents post-Covid-19 pour inclure la santé mentale, la mémoire et la cognition, ainsi que les services de réadaptation. »
Source : The Guardian, Linda Geddes, 24-03-2021
Traduit par les lecteurs du site Les-Crises
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Commentaire recommandé
« ils semblent se regrouper en quatre catégories »
« On estime que »
1077 sur plus de 300.000
« L’étude, qui n’a pas encore fait l’objet d’un examen par les pairs »
« brouillard cérébral » = ???
» Il se peut que »
« La raison de ce phénomène n’est pas claire, mais il se pourrait »
« Il y a beaucoup d’incertitude »
Stop ! N’en jetez plus !
Et une étude sur les personnes confinées a révélé combien de « brouillards cérébraux », de dépressions?
Chut! Cela ne sera pas étudié.
33 réactions et commentaires
« ils semblent se regrouper en quatre catégories »
« On estime que »
1077 sur plus de 300.000
« L’étude, qui n’a pas encore fait l’objet d’un examen par les pairs »
« brouillard cérébral » = ???
» Il se peut que »
« La raison de ce phénomène n’est pas claire, mais il se pourrait »
« Il y a beaucoup d’incertitude »
Stop ! N’en jetez plus !
Et une étude sur les personnes confinées a révélé combien de « brouillards cérébraux », de dépressions?
Chut! Cela ne sera pas étudié.
+44
Alerter« La question ne sera pas posée », comme avait dit un juge au moment de l’affaire Dreyfus. Car ce serait jetter le doute sur les restrictions multiples qui nous font tant de bien..
Alors on préfère multiplier les alarmes, pour maintenir indéfiniment la soumission des citoyens, ou plutôt, comme ils disent, de la « population » (de cobayes confinés et masqués).
Et pourtant, les conséquences de cet état d’urgence sont considérables : « un changement anthropologique » selon la psychologue Marie-Estelle Dupont.
+29
AlerterEn effet, dès que ça part sur le Covid, j’ai l’impression d’être ici comme devant la TV, ce qui est bien dommage. Et surtout: masquons nous partout, même aux toilettes!
+12
AlerterLa science cherche des réponses à des problèmes parfois complexes et subtils. Ces réponses peuvent être complexes et le doute fait partie du processus de recherche. Cette méthodologie est visiblement difficile à appréhender pour les âmes simples pétries de certitudes 😉
+24
AlerterUne méthodologie qui doute ou une méthodologie douteuse n’est pas une méthodologie scientifique.
Où est le groupe témoin? Quel était l’état des personnes avant leur hospitalisation?
En outre il est ici moins question de méthodologie que de résultats, de résultats douteux donc. Des résultats qui devraient être reproductibles aussi. Mais les « âmes simples pétries de certitudes » savent se satisfaire d’un manque d’esprit critique et gobent tout, surtout quand il s’agit de maintenir la peur et donc les « brouillards cérébraux ».
+19
AlerterJean-Do comme Jean Dominique le mari de celle qui a perdu son chat? Ce charlatan bardé de diplômes bidons?
+2
AlerterVous êtes bien DOGMATIQUE pour ne pas adhérer sans reserves aux très hautes considerations du très sachant LIBetc…
Mais bon effectivement les témoignages de séquelles neurologiques se multiplient autour de moi au fur et à mesure de l’extension e cette pandémie qui n’existe pas ….sauf sur terre, qui ne tue que les vieux sauf ailleur qu’a Marseille , qu’il est impossible d’éradiquer , sauf en Asie de l’est….. et pour laquelle aucun vaccin n’est vraiment efficace sauf pour ceux qui sont déjà vaccinés…..
Je fréquente les crises , surtout pour les articles !
+6
Alerter« Vous êtes bien DOGMATIQUE »
Sophisme donc et en plus en criant. Félicitations.
C’est bizarre, parce qu’autour de moi, aucune séquelle des personnes atteintes, mis à part une avec un simple changement d’humeur. Maintenant allez savoir si ce changement d’humeur est dû au virus ou aux confinements à répétition. Vite une étude!
+3
AlerterQu’est ce qui est entendu exactement par « brouillard cérébral » ?
L’ équivalent de 10 minutes de visionnage de BFMTV? 20 minutes? Une heure?
Faudrait quantifier pour qu’on comprenne mieux.
+27
AlerterLe phénomène du “brain fog”, en français brouillard cérébral ou brouillard mental, est une image très représententative de cet état de fatigue intellectuelle ressentie au quotidien. On explique généralement ce phénomène par de petites inflammations dans le cerveau, qui créent cette sensation diffuse et vous fait simplement penser de façon peu claire. Le système limbique, dans lequel les émotions et les souvenirs sont traités, est particulièrement touché. En cas de déséquilibre, par exemple en raison d’un stress oxydatif ou d’un apport insuffisant en nutriments, les symptômes suivants peuvent apparaître :
– Trouble de la concentration
– Oubli
– Confusion
– Manque d’attention
– Fatigue
– Sautes d’humeur
– Mal de tête
– Perte de motivation
– Désorientation
Ces irritations peuvent ne durer que quelques minutes, mais dans certains cas des semaines, voire des mois ou des années si la cause n’est pas découverte et corrigée.
+16
AlerterAH merci !
Maintenant je m’explique ma situation : brouillard mental.
Je me disais bien que depuis qqs temps je pensais comme un bac à douche.
Mes écrits ici même devenaient encore plus abscons voire complotistes.
Le covid vous dis-je. Quasiment asymptomatique mais agueusie et surtout anosmie persistante
et brouillard mental.
Le fog du frog.
+2
AlerterVu le conditionnel de l‘article, j’aurais dit que cela correspond à 5 articles les-crises.
+4
AlerterVous « auriez dit »…d’accord. Mais à quelle condition ?
Hihihi 🙂
+0
AlerterIl y a tout de même une bonne nouvelle, il existe des chercheurs en Grande Bretagne. Maintenant, si cette recherche consiste à laisser un numéro de téléphone pour être appelé par tous les angoissés de plus de 40 ans ayant des problèmes cognitifs et musculaires, la ligne va êtres saturée. Il ne manque plus que l’étude sur la virilité masculine. Pour rire.
+7
Alerterah bon ?
Rappelons que l’attaque des cellules du poumon et un manque d’oxygénation ne peut mener qu’à ces conséquences. Et suivant le niveau atteint, la personne aura des séquelles. Voir iréversibles. Tel une personne qui n’a plus qu’un demi poumon valide. Oui la maladie handicape.
sinon,:
publié une étude avec des semble, tende, estime, « non validé par ses pairs » ? ?
A quand un article sur ce qui soigne ?
Et comme d’autres l’on dit
« Plus d’un quart d’entre eux présentaient également des symptômes cliniquement significatifs d’anxiété et de dépression, et 12 % présentaient des symptômes de syndrome de stress post-traumatique »
JE (étude non fiable) pense que pas loin, même si ça n’est peut-être pas si loin; près d’un quart de la population française présente des symptomes d’anxiété, de dépression. Et surement plus de 12% présente des symptômes de stress post-traumatiques de la situation.
+16
Alerter– Combien souffrent encore aujourd’hui de l’absence de traitements précoces ?
– Combien de nouveaux malades avaient reçu leur 2 doses de vaccin ?
…
+6
AlerterLa dépression et le stress peuvent expliquer la quasi-totalité de ces symptômes.
Au vu de la gestion délirante de la crise, de l’effondrement et de la piètre qualité des services de soins, du discours d’abandon des patients (attendez de ne plus pouvoir respirer avant de vous faire soigner), du refus d’envisager un traitement précoce (et même s’il n’y en a pas, on sait ce qu’il en est scientifiquement prouvé de l’effet placebo et de l’effet nocebo – d’où l’intérêt d’une prise en charge de base où le message est que l’on se soucie du patient plutôt que de lui dire d’attendre et que ce n’est même pas la peine d’aller voir le médecin), de l’angle de vue systématiquement pessimiste concernant le virus et la maladie, de la propagande massive, etc., il serait pertinent de conduire une étude sur un syndrome post traumatique et de dépression sur ces patients afin de la faire la part des choses.
Des études montrent que c’est le doute sur ce qu’ils ont qui est le plus pénible pour les patients : une fois que la maladie ou le mal est bien diagnostiqué, l’individu a une prise sur ce qu’il a (même si ça n’en change évidemment pas la nature). On a affaire ici à une maladie nouvelle à propos de laquelle tous les médecins disent qu’ils ne savent pas. Pas propre à apaiser.
+11
AlerterTout phénomène nouveau nécessite d’être identifié, qualifié, confirmé. Cela prend du temps et se fait le plus souvent par tâtonnements. Comprendre nécessite de connaître la vérité crue. Les discours « rassuristes » ne peuvent que brouiller la compréhension du phénomène. Ceux qui ne veulent pas comprendre la réalité devraient cesser de consulter Les Crises.
+4
Alerter« Les discours « rassuristes » ne peuvent que brouiller la compréhension du phénomène. »
Tandis que les discours inquiétants ne peuvent qu’amplifier le même phénomène. Il est connu que le stress a une influence négative sur le système immunitaire.
+12
AlerterEt bien ne lisez pas les discours inquiétants, vous serez moins stressé. Quant à moi, je souhaite comprendre autant que faire se peut la réalité des choses, donc SVP laissez m’en la possibilité.
+7
AlerterA partir de quel moment d’un discours l’on sait que ce discours est « inquiétant » pour évitez qu’on le lise ?
+3
AlerterSophisme: où avez-vous lu que j’ai écrit que je ne vous en laissais pas la possibilité?
Si vous estimez que les discours inquiétants aident à la compréhension, je ne peux rien pour vous. Personnellement je préfère les discours factuels. Et je vous rassure: je ne suis pas stressé, car je sais analyser les discours inquiétants pour ce qu’ils sont: des manipulations. Idem bien sûr pour les discours rassuristes.
+4
AlerterVotre dénigrement systématique des faits est fatiguant, inutilement stressant. Positiver un peu plus serait profitable à tout le monde, vous, moi et d’autres, j’en suis sûr.
+2
Alerter« Comprendre nécessite de connaître la vérité crue. »
Vérité? Oui, alors:
– comment on été choisis les 1077 personnes?
– combien ne présentaient pas de comorbidité antérieure?
– comment étaient représentées les différentes comorbidités?
– combien ont perdu le goût et l’odorat?
– combien ont été ventilés et/ou entubés?
– combien prenaient déjà un traitement médicamenteux avant?
– que donne une telle étude dans d’autres pays (par exemple en France, en Russie, au Japon, en Corée, en Chine, en Nouvelle Zélande, etc.)?
etc.
Autre question: a-t-on le taux d’hospitalisation par rapport au nombre de cas?
+6
AlerterToutes de très bonnes questions, dont les réponses seront sans doute dans une publication scientifique encore à publier, comme le signale l’article du Guardian, puisqu’il n’y a pas encore eu de revue par les pairs.
+1
AlerterLib , la réponse à la 5ème (2ème partie) dépasse le milliard
+3
Alerterle papier en question: https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.03.22.21254057v1.full-text
1077 participant intégrés a l’étude sur 1170, sans indication de ce que sont devenus les 93 manquants. Sans explications non plus sur l’écart avec l’objectif initial de 10 000 participants (https://www.phosp.org/about/).
Pour les problémes préexistants: 50% d’obéses, 42% de probléme cardiovasculaires, 26% de problémes respiratoires et 20% de diabétes type II. La population britanique normale en somme.
+4
AlerterAutre question: a-t-on le taux d’hospitalisation par rapport au nombre de cas?
Uk: 4 390 783 millions de testés positifs, 460 925 hospitalisés (10%), 150 419 morts (3,4%).
Mais il faud tenir compte de ce que début juin ce chiffre était de 115 583 hospitalises pour 257 495 positifs et 52 647 morts.
Donc depuis juin: 4 133 288 testés positifs, 345 342 hospitalisés (8%), 97772 morts (2.4%).
+0
AlerterBonjour,
Le « brouillard cérébral « , c’est le mot que j’ai decrit à mon orthophoniste, et justement elle sait éclaircir ses patients.
J’ai un besoin plus qu’importe d’oxygène et de travail du cerveau : je n’ai pas un cov, simplement un avc il y a 5 ans.
Amicalement
+6
AlerterComme toujours quand il s’agit du covid, on a droit à une nuée d’individus qui ne veulent pas voir plus loin que le bout de leur nez, et qui se croient doués d’esprit critique. Le « brouillard mental » ? Une fadaise ! Rien de scientifique là-dessous. L’étude est pleine d’incertitudes, elle ne porte que sur 5 mois, et pas de groupe témoin ? Donc rien de sérieux. Sauf qu’il y a quand même des stats qui disent qu’un pourcentage non négligeable de malades conservent des symptômes pour le moins enquiquinants et sur une longue durée. Et ce ne sont pas des racontars destinés à faire peur : des témoins en parlent depuis longtemps et ça fait peur. Enfin, ça devrait, quand on a un esprit normal.
+2
AlerterNous n’avez pas compris sur quoi porte le doute.
Si nous n’avez pas encore remarqué que le COVID a révélé le mauvais état de santé des occidentaux (avant même l’épidémie), regardez juste l’Afrique et la situation singulière de l’Afrique du Sud.
« Comme par hasard », le pays le plus touché par cette épidémie sur ce continent est celui dont le mode de vie est le plus occidental.
Libre à chacun de n’y voir qu’une coïncidence…
+3
AlerterC’est vrai que les seules études valables sont des études scientifiques en condition de laboratoire, et que mettre des conditionnels est la preuve de l’incompétence et de l’inanité de cette étude. Les études de terrain, ça ne vaut rien, c’est de la médecine, si c’est dire que c’est peu scientifique et insignifiant.
Au demeurant, sur les sites de publication scientifique, j’ai lu un certain nombre de choses concordantes. Certes, il faut prendre en compte de la réanimation en elle même n’est pas quelque chose d’anodin et qui a des conséquences, certes il faut aller plus loin et faire des études plus protocolaires « en condition de labo », mais ignorer que nous sommes devant un très gros problème sur des critiques purement formalistes et pinailleuse c’est vraiment ne pas démontrer son intelligence.
Cette étude est une alerte : Il y a quelque chose à prendre en compte et à étudier d’urgence ! Et de très nombreux malades à prendre en compte ! vous savez des vrais gens qui souffrent, un truc assez éloigné des tableaux de chiffres…
+0
Alerter« L’étude, qui n’a pas encore fait l’objet d’un examen par les pairs »
La presse toujours en mode sensationnaliste, pourquoi ne pas attendre un peu avant de publier cet article ici, je pensais que sur les-crises on prenait le temps de l’information…
+2
AlerterLes commentaires sont fermés.