Hervé Machenaud, ancien directeur exécutif du groupe EDF
Source : Thinkerview, Youtube, 01-02-2023
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Commentaire recommandé
Vue précédemment, cette fort instructive interview. Elle ne le sont pas toutes chez Thinkerview.
Sky s’est montré un odieux mufle-beauf’ de Cabu, ancienne plus nouvelle version, envers son invité, à faire le fier-à-bras avec un septuagénaire, lui coupant incessamment la parole. En plus, ça rallonge l’émission en rajoutant des longueurs. Parce qu’Hervé Machenaud est un « boomer » et un polytechnicien ? Mais il avait beaucoup à dire et parlait d’expérience. Fallait juste le laisser parler et relancer quelquefois !
2 réactions et commentaires
Vue précédemment, cette fort instructive interview. Elle ne le sont pas toutes chez Thinkerview.
Sky s’est montré un odieux mufle-beauf’ de Cabu, ancienne plus nouvelle version, envers son invité, à faire le fier-à-bras avec un septuagénaire, lui coupant incessamment la parole. En plus, ça rallonge l’émission en rajoutant des longueurs. Parce qu’Hervé Machenaud est un « boomer » et un polytechnicien ? Mais il avait beaucoup à dire et parlait d’expérience. Fallait juste le laisser parler et relancer quelquefois !
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AlerterUn ex-cadre dirigeant d’EDF s’exprime, malgré les interruptions mal-venues du journaliste et ce qu’il dit éclaire la situation actuelle de l’énergie en France.
J’en retiens:
– le rôle néfaste de la Commission de Bruxelles instrumentalisée par l’Allemagne (grunen et industriels)
– le pilotage aberrant du prix du kWh
– les centaines de milliards dépensés au profit de quelques profiteurs astucieux pour une technologie aberrante ( les éoliennes, notamment).
– l’abandon d’une technologie (Phénix et superPh) visant à multiplier par 100 les ressources en combustible.
– un découplage de la filière (producteur/distributeur) rendant impossible un pilotage efficient
– et toujours des politiques et conseillers se mêlant de process industriel à la place des vrais techniciens (les corps des mines et des ponts notamment)
Mais alors (la question n’a pas été posée) comment expliquer que les PDG et cadres dirigeants n’aient pas démissionnés face à un tel massacre de leur entreprise (sauf le contrôleur de gestion, suite à la décision d’EDF de prendre le risque financier des epr anglais me semble t il.
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